Le 26 mai 2022, je me suis lancée dans l’écriture de mon premier livre : “Vivre de ses livres grâce à l’auto-édition : le modèle entrepreneurial complet, pour décider si ce métier est fait pour toi”. J’ai cherché les informations dont j’avais moi-même besoin pour me lancer comme auteure et vivre (principalement) de ce métier, et j’ai rassemblé tout ça dans un livre.
Aujourd’hui, 12 avril 2023, j’ai terminé l’écriture et la révision des six chapitres du livre. Il ne me manque plus qu’à finaliser l’introduction, les pages liminaires (remerciements, page Auteur, annexes, sommaire…) ainsi que le bonus que je veux proposer au téléchargement. Ensuite, je devrai m’occuper de la mise en forme, de finaliser la couverture, puis de préparer la publication et la vente.
Écrire ce que je veux pour mieux m’y connecter et me rappeler la direction
Après dix mois à travailler dessus, je me sens un peu à bout de souffle. Ça fait déjà plusieurs mois que je ne prends plus de plaisir dans l’exercice. Mais je tiens à aller au bout et à ce que ce livre voie le jour. Alors j’essaye de m’y mettre un peu chaque jour pour avancer, généralement pendant 1h à 4h. Et le reste du temps, je fais d’autres choses.
Régulièrement, j’ai la sensation de ne pas avoir l’énergie de travailler sur le livre. Pas l’envie non plus. Pourtant, je sais aussi que je ne veux pas abandonner. Je veux aller jusqu’au bout.
Alors ce que je fais, généralement, dans un tel moment, c’est que je prends mon grand carnet (dans lequel je note toutes mes réflexions) et j’écris, pour me connecter avec ce que je veux pour ce projet. En principe, faire ça vient réveiller mon énergie et ma motivation. Ça me donne une perspective joyeuse, confiante et excitante du projet. En pensant à ce que le livre pourrait devenir, ça me donne l’envie de continuer d’avancer dessus, pour parvenir à ce moment-là. Plutôt que de m’y être forcée, cette connexion à mon imagination positive relance la machine par l’énergie. Je préfère fonctionner comme ça, pour ne pas aller contre moi-même.
Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager cette vision de ce que je veux pour mon livre.
Initialement, j’étais en introspection pour me connecter à ce que je voulais pour mes ARTICLES, pas mon livre. Mais ce qui m’est venu est que j’avais envie de partager ma vision de ms différents projets, vers où je vais. D’avoir comme une fiche pour chaque projet, qui présenterait la direction dans laquelle je me dirige, afin de pouvoir m’y référer moi-même. Mais je me dis que c’est aussi une manière de vous faire comprendre quels sont mes différents projets, et vers où je vais. 😊
Alors c’est parti… Connexion ! 👇
Direction : ce que je veux pour mon livre quand il sort
Je veux que mon livre se vende comme des petits pains.
Que les gens le kiffent tellement qu’ils se le recommandent entre eux et vont naturellement laisser une note de 5/5 et de supers commentaires sur la page Amazon.
Les médias et chroniqueurs livres en entendent parler et c’est eux-mêmes qui décident d’acheter mon livre et de le relayer.
Les achats de départ (suite aux actions menées pendant mon lancement) me permettent d’entrer au classement des catégories dans lesquelles est classé mon livre. Cela génère plus de visibilité (auprès d’inconnus), donc plus de ventes, et me doit d’entrer au classement général et de monter dans le Top 10.
Comme beaucoup de monde rêve d’écrire des livres (et secrètement, d’en vivre), le livre continue de se vendre tout seul même après le lancement, et génère entre 600€ et 2 000€ par mois à lui tout seul pendant tout le reste de l’année 2023.
Lorsque je sors la suite de la série sur ce sujet, ce chiffre mensuel double (avec l’ensemble des ventes de l’ensemble des livres de la série).
Avec le temps, les articles que j’ai publiés sur ce sujet attirent de plus en plus de trafic sur mon blog, et convertissent les lecteurs en acheteurs de mon livre. Cela double le trafic et les achats par rapport à ce qui provenait d’Amazon avant.
Je n’ai plus besoin de vendre ce livre car il se vend tout seul grâce à ça. Avec le temps, je mets quand même en place une série d’emails automatisés, comme Joseph Alexander, pour que ma série de livres continue de bien se vendre toute seule, pendant que je vais écrire d’autres livres ou faire autre chose de ma vie.
Crédit photo de couverture : Fang-Wei Lin sur Unsplash