RêveÊtreAuteure

Je Rêve d’être une Auteure

Je me sens l’âme d’une auteure. Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas d’où ça vient, c’est comme ça, c’est quelque chose que je sens au fond de moi. Aujourd’hui, je ressens le besoin que ma réalité matérielle corresponde à cette réalité interne. Je ressens le besoin de mettre en place des activités qui me donnent la sensation d’être une auteure, pour correspondre à l’identité de mon âme profonde.

L’écriture fait partie de ma vie depuis toujours. Pourtant, je me sens toujours en décalage par rapport à ce que je ressens à l’intérieur. Aujourd’hui, je pars en quête de ce que je dois faire pour réaligner ma réalité externe avec ma réalité interne : devenir une auteure autant à l’extérieur (avec la publication d’écrits) qu’à l’intérieur (ce que ressent mon âme).

C’est le début d’une aventure qui, je l’espère, m’apportera un sentiment d’alignement à moi-même. Je compte raconter ce périple au fur et à mesure de mes découvertes, à commencer par cet article, qui pose la base du rêve que je vise.

Pourquoi je me sens l’âme d’une auteure ?

Âme d’auteure : une sensation

Avant qu’être auteure ne devienne une réalité physique, c’est avant tout une réalité intérieure : une sensation. Je ne sais pas comment expliquer cela davantage qu’en disant “Je me SENS auteure”. L’écriture fait partie de moi. C’est mon moyen d’expression privilégié. C’est quelque chose qui m’a accompagnée naturellement tout au long de ma vie, sous diverses formes, et depuis un âge (6 ans) où l’on ne réfléchit pas à qui l’on est et ce que l’on veut devenir : on EST simplement. Ce qui, à mes yeux, montre que l’écriture n’est que le reflet de quelque chose de naturel à l’intérieur de moi. Tout part de là, de cette sensation.

Âme d’auteure : les premières matérialisations, sous forme de loisirs

J’écris depuis “toujours” (on est d’accord : après avoir appris à écrire). Ma première histoire -avec trace écrite à l’appui- remonte au 5 novembre 1997, quand j’avais cinq ans et onze mois précisément. Il s’agit de toutes petites histoires de fiction.

Depuis cet âge-là, j’ai aussi tenu des carnets de voyage, écrit des journaux intimes, des poèmes (pour mes amis ou juste comme ça), des chansons (en anglais et en français). 

Plus tard, vers l’âge adulte, j’ai créé des blogs par loisir (un sur l’environnement-écologie et un deuxième sur l’entrepreneuriat et le développement personnel) sur lesquels j’ai écrit quelques articles ; j’ai instauré un rituel quotidien pour écrire dans mes “journaux intimes” le soir ; et j’ai commencé l’écriture introspective, pour démêler mon cerveau, transformer mes croyances, exprimer mes émotions, mais surtout, aller chercher des réponses à l’intérieur de moi, me connecter à moi-même.

Étrangement, devenir “auteure” ou “écrivain” n’a jamais fait partie des métiers que je voulais faire quand j’étais petite. Peut-être ne savais-je pas que c’était un vrai métier. Peut-être n’avais-je que les romans comme référence et me disais que ce n’était pas pour moi (je suis plus adepte de non-fiction que de fiction). Peut-être l’écriture m’était-elle tellement innée que je ne pensais même pas à l’intégrer à un travail. Peut-être que je ne me suis pas posé beaucoup de questions aussi. Je n’ai jamais ressenti de grande vocation étant enfant, j’ai plutôt suivi le cursus scolaire d’année en année, essayant de m’orienter un peu plus précisément chaque fois.

Mais l’écriture a toujours fait partie de mes loisirs. Ceux-ci ont été la première matérialisation physique de mon âme d’auteure. 

Je m’identifie aux personnages qui sont “auteurs” dans les livres, séries et films et autre

Je crois que toutes les personnes que l’on prend pour modèles reflètent une partie de nous que l’on souhaite développer. Moi j’adore quand il y a un personnage qui est “auteur”, qui écrit, que ce soit dans un film, une série, ou un roman.

Si un roman met en scène un auteur, je vais le préférer à un autre roman. Parce que j’aime lire ces bouts de vie d’auteurs, m’imaginer à leur place, m’imaginer ce que c’est. Parce qu’au fond, c’est ce que je rêve de faire.

Le poster de l’écrivain

Chez moi, depuis quelques années, j’ai affiché un poster (ou disons plutôt une page arrachée dans un magazine) qui représente un écrivain au travail, à son bureau, avec plein d’images autour de la tête, et plein de boules de papier par terre. J’adore cette image. Elle représente une partie de ce que je sens autour de moi.

Jane Sloan dans “The Bold Type” (série)

The Bold Type (“De celles qui osent”) est une série américaine mettant en scène trois amies qui travaillent au sein du même magazine féminin. L’une d’entre elles, Jane Sloan, écrit des articles pour le magazine (les autres sont dans la communication et le stylisme). C’est elle qui me fascine et à qui je m’identifie. J’aime cette série au global, pour plein de raisons différentes. Mais j’adore Jane Sloan et son métier. J’adore toutes les scènes et scénarios qui montrent Jane en train de travailler sur l’un de ses articles. Rien que pour ça, je pourrais revoir la série depuis le début.

“Le souffle des feuilles et des promesses” (roman de Sarah McCoy)

Je crois que j’ai récupéré ce livre dans une boîte à don de quartier. Mais quand j’ai vu la quatrième de couverture, j’ai tout de suite été appelée à lire ce livre. Le personnage principal est une jeune Américaine de vingt ans qui cherche à devenir écrivaine et publier son roman (puis les autres) dans les années 1897 et celles qui suivent. Je ne suis ni de cette époque, ni Américaine, ni romancière, mais j’aime quand même l’ambiance d’un livre qui parle d’une auteure.

Ce ne sont que trois exemples parmi d’autres pour montrer le type de personnages auxquels je m’identifie. Je pense qu’ils représentent cette partie de moi qui rêve d’être à leur place, d’une certaine manière.

Je m’identifie à de vrais écrivains (mais bien particuliers)

Sous le charme de la méthode Balzac

Quand j’habitais à Paris en 2015, je suis allée visiter la maison de Balzac dans le seizième arrondissement. Je ne suis absolument pas fan de la littérature classique. Je n’avais aucun intérêt particulier pour Balzac. C’était juste une activité à faire avec mes copines pour découvrir quelque chose qu’il y avait à découvrir dans Paris.

Mais je suis ressortie très positivement surprise et inspirée par ce lieu. Autant le contenu des livres de Balzac ne sont pas trop ma tasse de thé, autant j’ai adoré découvrir son mode de vie, son processus créatif, comment il faisait pour gagner un revenu avec ça à l’époque. Puis j’ai redécouvert le principe de la Comédie Humaine, l’Oeuvre qui chapeaute toutes les œuvres. J’ai adoré l’idée de construire un ensemble de livres qui ont une logique entre eux.

Depuis, Balzac est devenu un modèle que je garde en tête. Sur mon poster d’écrivain, j’ai d’ailleurs écrit “écrire comme Balzac”. Pas dans le sens “écrire de la littérature classique” ou ce genre de roman, mais plutôt m’inspirer de cette création multiple.

Stephen King, mon deuxième modèle

Dans cette idée de prolificité de livres, Stephen King est devenu une autre de mes références. Je sais qu’il existe d’autres personnes qui ont écrit de nombreux livres dans leur vie, mais je crois que Stephen King est le premier nom contemporain que j’ai mis sur ce mode d’écriture. C’est donc lui qui est devenu mon modèle.

D’autres auteurs m’inspirent, notamment dans la non-fiction, mais Balzac et Stephen King sont ceux que je garde le plus en tête comme représentants du type de collection que je veux construire.

Visions ésotériques de mon âme d’auteure

Je suis très attirée par certaines disciplines spirituelles, énergétiques, ésotériques. Sur mon chemin pour les découvrir, deux d’entre elles ont fait référence à l’écriture, me concernant. C’est moins concret et un peu plus difficile de le prendre au pied de la lettre, car, d’un côté, je crois à ces choses-là, mais ce n’est pas évident de savoir si c’est une vérité ou pas. Je crois que ce qui compte c’est surtout l’effet miroir que ça nous fait : ce qu’on aime entendre, ce qui nous fait du bien. Deux pratiques ont “justifié” mon intérêt par l’écriture, et ça m’a fait du bien de l’entendre (probablement parce que je sentais déjà cette âme d’auteure donc ça ne faisait que venir valider quelque chose que je sentais déjà au fond de moi).

Lecture d’âme : j’aurais été un scribe de tribu qui capitalisait le savoir

En 2019, on m’a fait une “lecture d’âme”. Concrètement, j’étais assise sur mon canapé chez moi, et la personne qui me faisait la lecture d’âme était chez elle, et nous étions connectées via Zoom, en visioconférence. 

Pendant 2h, alors que je gardais les yeux fermés, elle “lisait” des choses de mon âme au niveau du cœur, du centre énergétique de la racine, et de l’esprit. Elle disait qu’elle se connectait à “mes guides” et “mes anges gardiens” et recevait des messages.

Tout ça est très mystérieux mais, par moments, alors qu’elle ne me parlait pas, j’ai senti des vagues d’émotions venir me serrer la gorge, comme si de l’énergie était en train de circuler.

Parmi les informations qu’elle m’a transmises, la “liseuse d’âme” m’a dit qu’elle voyait quelque chose d’important au niveau de mes mains, probablement une mission en lien avec l’écriture. Boum : grosse émotion pour moi à ce moment-là. Sachant que je me sentais dans un état de semi-hypnose ou méditatif, qui sont ceux où je me sens la plus connectée à mon âme et mon intuition. Donc le fait d’avoir une grosse émotion était pour moi le signe que c’était quelque chose d’important pour moi et vers quoi je voulais aller (ou peut-être une vérité sur ma “mission de vie”).

Elle m’a aussi dit qu’elle voyait comme une vie antérieure où j’aurais été scribe pour une petite tribu, et que mon travail était d’écrire le savoir pour le conserver. Moins d’émotion à ce moment-là, mais j’ai senti comme une satisfaction qu’elle me dise ça. Ce que j’ai trouvé marrant c’est que quelques années avant, quand je réfléchissais au type de blog que je voulais créer, ou au type d’information que je voulais partager, je me disais que j’aimerais lire tous les livres des philosophes grecs, notamment ceux qui contiennent des leçons de vie, pour “capitaliser” sur ce savoir et que tout le monde le connaisse, qu’il soit acquis. J’ai fait le lien : c’est comme si dans ma vie présente, je cherchais à retrouver la sensation de capitaliser sur le savoir et faire en sorte que la communauté y ait accès…

Design Humain : l’universalisateur + une voix qui impacte

En 2021, je me suis formée au Design Humain (vous pouvez voir de quoi il s’agit dans cet article, que j’ai écrit sur mon ancien blog). Cet outil de connaissance de soi parle de beaucoup de choses liées à notre type d’énergie, qui nous sommes profondément, et notre “mission de vie” (ou en tout cas, le rôle que l’on joue dans la société). 

Ce n’est pas précis au point de dire “Tu seras écrivain”. Aucune discipline ésotérique ne propose ça je pense (à part la voyance peut-être ?). Mais ça donne des indications sur de grandes tendances, de grandes catégories, dans lesquelles chacun peut y mettre le centre d’intérêt, le sujet, la sous-compétence qui l’attire, en fonction de qui il est et ce par quoi il se sent attiré.

Deux éléments du Design Humain parlent de mon rapport à l’écriture à mon sens.

Ligne 5 de mon Profil de Design Humain

Premièrement, mon “Profil”. Le “Profil” parle de notre rôle dans la société et contient deux numéros (qu’on appelle des “lignes”). Certains donnent des indications sur notre façon d’impacter les autres. Moi j’ai le numéro “5”, qui est associé à des personnes considérées comme des “universalisatrices”, c’est-à-dire des “enseignants” qui vont transmettre un savoir en le vulgarisant pour qu’il soit démocratisé auprès du plus grand nombre. Il s’agit en principe d’un savoir “innovant”, une information encore peu connue de la majorité.

Pour moi, ce rôle rejoint l’écriture car c’est finalement ce que j’ai eu tendance à faire naturellement au travers de la création de mon premier blog : certains de mes écrits ont vocation à démocratiser un concept (dans mon ancien blog : les nouveaux modes de travail -Remote, Nomadisme Digital, Slash, l’ikigaï, le Design Humain, la Multipotentialité, le Business Boule à Facettes).

Centre énergétique de la Gorge défini

Deuxième élément : mon centre énergétique de la Gorge qui est “défini”. On considère que les personnes dont ce centre est “défini” (l’autre option étant “non défini”) ont beaucoup d’impact sur les autres au travers de ce qu’elles disent, expriment. Il s’agit autant d’expression orale que d’expression écrite. 

C’est ici que je fais le lien avec l’écriture : quand j’ai appris ça sur mon Design Humain, je me suis dit que je ressentais cet impact de ce que je pouvais écrire, sur les gens (car je recevais des messages de personnes me disant que ça avait fait écho pour elles, que ça mettait des mots sur des choses qu’elles vivaient et les aidaient à voir plus clair, que ça leur permettait de mieux comprendre qui elles étaient, ou encore de mieux comprendre un concept, qu’elles trouvaient que j’expliquais mieux que d’autres personnes sur Internet -merci la ligne 5 de mon profil 😉).

En plus de mon ressenti interne, et de mes actions naturelles d’enfant qui ne passe pas par le mental, mes profils énergétiques et spirituels parlent aussi de mon lien à l’écriture, ce qui ne fait que renforcer ma conviction que je suis faite pour ça.

Pourquoi je ne me sens pas encore véritablement auteure aujourd’hui ?

Je n’étais pas dans cette posture jusqu’à présent

En 2018, je me suis lancée dans le Blogging Professionnel. On pourrait penser que rien que ça me permettrait de me sentir auteure. Après tout, le travail d’un Blogueur, c’est d’écrire des articles.

Sauf que… pas tout à fait. L’écriture d’articles est effectivement une grosse partie du travail du Blogueur Professionnel. Mais là où ça cloche c’est que le modèle économique qu’on m’a appris nécessitait de créer des programmes en ligne et proposer de l’accompagnement.

Ces deux dernières activités sont deux métiers complètement différents de celui d’écrire des articles. Et le fait d’être rémunérée sur ces activités-là, plutôt que sur l’écriture, a créé un sentiment d’être davantage “formatrice” et “accompagnatrice” qu’auteure.

J’aurais pu créer des livres numériques au lieu de programmes en ligne, mais ça ne m’est pas venu comme ça (et aussi probablement parce qu’on a tendance à accorder moins de valeur à un livre et le payer moins cher qu’une formation, donc j’ai préféré me tourner vers les formations).

De 2019 à fin 2021, je me sentais donc dans cette posture d’entrepreneure-formatrice-accompagnatrice. En 2022, j’ai réalisé que cette posture ne réflétait pas qui j’étais profondément. Car, au fond de moi, je me sens l’âme d’une auteure. C‘est pour ça que j’ai décidé d’arrêter mon activité LesNouveauxTravailleurs et de redémarrer de zéro, pour pouvoir entrer dans cette posture d’auteure, sans être encombrée de mon passé connoté.

Je n’écris pas assez (pas assez ancré dans mon quotidien)

J’ai beau avoir écrit 200 articles sur mon blog, j’étais beaucoup plus active en 2018 que les trois années suivantes, où je me suis davantage reposée sur mes lauriers en matière d’écriture d’articles (notamment parce qu’une fois l’intention première traitée -démocratiser les nouveaux modes de travail- j’étais un peu perdue et ne savais pas trop quelle était la suite, j’ai pas mal erré).

Récemment, j’ai beaucoup moins écrit. Or, à mes yeux, si je n’écris pas, alors je ne suis pas concrètement auteure, même si je me sens auteure à l’intérieur. Je pense même que, pour me sentir auteure, j’ai besoin d’écrire au quotidien (des articles, j’entends, car je fais déjà de l’écriture introspective ou écris mes journaux du soir).

Je n’ai pas écrit de livre

Dans ma vision de l’auteure que je veux devenir, j’aimerais écrire plusieurs livres. Je ne crois pas qu’on soit obligé d’écrire un livre pour être auteur (on peut rester auteur d’articles simplement par exemple), mais c’est quelque chose vers quoi moi je veux aller. Donc, en plus d’écrire au quotidien, je pense avoir besoin de passer par la case “écriture de livre” pour me sentir pleinement auteure.

Je ne suis pas reconnue comme auteure

Enfin, au-delà de ce que je peux faire concrètement pour me sentir auteure, je sens qu’il y a une notion de reconnaissance sociale. J’ai l’impression qu’être auteure, ce n’est pas seulement écrire au quotidien et écrire un livre, c’est aussi faire comprendre au monde que c’est ça que je fais, que c’est mon identité, et que le monde me reconnaisse comme quelqu’un qui écrit.

Quand je dis “le monde”, je pense notamment :

  • aux professionnels sur Linkedin (être vue comme une professionnelle de l’écriture par les autres professionnels) 
  • aux particuliers -du cercle proche aux inconnus- sur tous les autres réseaux (Facebook, Instagram, Youtube)
  • aux médias qui pourraient vouloir faire témoigner une auteure, m’interviewer, me faire intervenir ou parler de moi et ce que j’écris sur tel ou tel média (presse, magazines, radio, tv…)
  • à tout autre acteur professionnel qui voudrait me faire intervenir en tant qu’auteure ou vis-à-vis des sujets que je traite (entreprises qui organisent des conférences ou ateliers pour leurs employés, entrepreneurs qui organisent des séminaires, organisateurs d’événements…).

Je crois que, pour pouvoir être reconnue comme telle, il me faut :

  1. Écrire souvent ;
  2. Partager mes écrits sur différentes plateformes (blog, Linkedin, Medium) ;
  3. Échanger avec les gens autour de ce que j’ai écrit ou ce qu’ils ont écrit, pour faire avancer les réflexions.

Mon rêve de devenir auteure : ce que je compte faire pour réunir mes réalités externe et interne

Comme je le disais en début d’article, je me sens l’âme d’une auteure, mais ai cette sensation que ma réalité extérieure (ce que je fais concrètement) ne représente pas bien cette réalité intérieure. Ce que je souhaite aujourd’hui c’est réconcilier les deux, en mettant en place des actions “dans le monde extérieur” qui me permettront de me sentir davantage auteure “pour de vrai” et aux yeux de tous.

  1. Écrire au quotidien

Je veux écrire au quotidien. Idéalement :

  • 1 article ;
  • 1 email (à un ensemble de personnes qui se sont abonnées et à qui je partage les coulisses de la création d’une vie professionnelle et personnelle 100% à mon image) ;
  • 1 post Instagram
  • Peut-être aussi un post Facebook, je ne sais pas encore.

Tout en continuant mes écritures personnelles : journal du soir, écriture introspective.

  1. Partager mes écrits dans l’éco-système et participer à la discussion

En plus de publier ces articles sur mon propre blog, je veux partager mes articles à “l’éco-système” (auprès des gens présents sur d’autre réseaux et qui ne tomberaient pas forcément sur mon blog) :

  • En article Linkedin
  • En article Medium

Puis participer aux discussions (commentaires principalement) :

  • Celles générées par mes propres articles
  • Celles autour d’écrits d’autres personnes

  1. Afficher “Auteure” comme métier sur Linkedin

Pour moi, indiquer “Auteure” sur Linkedin, c’est assumer aux yeux de tous que je considère que c’est mon nouveau métier. Je sens juste que je devrai légèrement me justifier du fait que je n’ai pas encore écrit de livre, et faire comprendre que c’est le fait d’écrire des articles qui me rend auteure. Mais ça me donnera l’opportunité d’expliquer sur quoi je compte écrire.

  1. Écrire 1 livre

Un jour, dans pas trop longtemps, j’aimerais écrire un livre. Je n’ai pas d’idée de sujets à ce jour, mais j’imagine que, pour commencer, il pourrait s’agir d’un livre qui reprend le contenu de mes emails ou de mes articles sur un sujet donné. J’espère concrétiser ce projet en 2022-2023.

  1. Développer plein d’autres choses autour de l’écriture

En écrivant cet article, j’ai réalisé que ma passion pour le milieu de l‘écriture était bien plus grande que ce que je pensais. Ce n’est pas seulement écrire, c’est tout ce qu’il y a autour : tout ce qui m’inspire à être auteure, à faire ce métier ; et toutes les idées dérivées de ce métier que je me verrais peut-être mettre en place : 

  • Une série qui mettrait en scène des auteurs comme personnages principaux ;
  • Ou des fictions écrites ;
  • Créer des posters inspirants pour les auteurs (à afficher chez soi ;
  • Pourquoi pas créer des carnets (pour l’écriture introspective, ou pour organiser sa vie d’auteur), voire d’autres items de papèterie ;
  • Des vlogs sur ma vie d’auteure ;
  • Me remettre à écrire des poèmes ou textes plus émotionnels ;
  • Et plein d’autres choses que je pourrais imaginer autour de ça…

Conclusion : mes prochaines étapes

Eh bien maintenant que j’ai dit tout ça, je sais ce qu’il me reste à faire :

  1. Mettre en place la partie “Blog” sur mon site ;
  2. Publier ce premier article ;
  3. Mettre le lien dans l’email de demain et le programmer ;
  4. Modifier mon profil Linkedin indiquant que je suis “Auteure”, ainsi que mes bannières Facebook et Linkedin obsolètes, et ma bio dans Médium.
  5. Recommencer ma routine d’écriture tous les jours (1 email + 1 article…), partager ça sur mon blog puis Linkedin et Médium, et prévoir du temps chaque semaine pour participer à la discussion.

Crédit image de couverture : Vecteur créé par pikisuperstar – fr.freepik.com

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