Balade Inspirative 10 Novembre 2022

Balade inspirative du 10 novembre 2022 (pensées et projets)

Hello à toi ! 👋

Aujourd’hui, pour la première fois, j’aimerais te partager, dans un article (et peut-être épisode de podcast plus tard), ce qui a émané de ma balade inspirative d’aujourd’hui, jeudi 10 novembre 2022. Peut-être qu’à ton tour, ça t’inspirera… 🤷‍♀️

Ce n’est pas pour rien que j’ai appelé mon podcast “Balade Inspirative”. C’est parce que j’aime bien, de temps en temps, aller me balader dans les rues des quartiers près chez moi à Montpellier. Flâner donne de l’espace à mon cerveau. Je me sens souvent inspirée, ça me donne plein d’idées, que je note sur mon téléphone, dans l’excitation de (peut-être) les mettre en place.

Citations Instagram du jour

Souvent, des phrases me viennent et j’ai envie d’en faire des posts Instagram. À l’heure où j’écris cet article, je n’ai pas encore fait les posts en question (comme tout ce que je vais citer ici : je ne suis pas encore passée à l’action, je voulais commencer par partager les idées 😉).

Comment est-ce que je sais que ce sont des phrases pour Instagram ? Parce qu’il y a souvent un côté un peu poétique, ou punchline. En tout cas, sur le coup, je le ressens comme ça. Il n’y a pas forcément de rime ou une phrase géniale. Mais ces phrases me viennent spontanément et représentent bien ce que je ressens à l’intérieur de moi.

D’ailleurs, j’ai réalisé que la raison pour laquelle je n’osais pas les mettre sur Instagram c’est que, quelque temps après, en principe, je les trouve nulles. Je ne me sens plus connectée à ce que j’ai écrit. 

Et si j’ai réalisé une chose aujourd’hui, c’est que j’ai une grosse peur de changer d’avis, de partager quelque chose publiquement puis de ne plus être d’accord avec moi-même ensuite, de regretter, et me sentir mal.

Aujourd’hui, j’ai envie de sortir de cette peur, parce qu’elle m’empêche de publier tout un tas de contenus, alors qu’ils pourraient être sympas quand même. 

Pour m’aider, j’ai envie de me dire que ce ne sont que des “captures écran” d’un instant T. Ces phrases ne sont le reflet que de ce que j’ai ressenti à ce moment-là précis. Elles n’ont pas besoin de continuer à être vraies dans le futur ou inconditionnellement. Si je l’ai ressenti, ne serait-ce qu’à un moment donné, alors c’est que c’est “vrai”. En tout cas, ça l’a été à ce moment-là. Et il n’y a rien de mal à partager quelque chose qui a été vrai à un moment donné, même si ce n’est plus vrai plus tard.

Réflexions autour de l’état d’esprit

J’ai peur… et j’ai envie de changer mon état d’esprit

Ce qui a émergé, en marchant, c’est qu’en ce moment, je suis remplie de peurs. J’ai réalisé que j’avais un état d’esprit de crainte, de manque, et assez négatif. Des idées, j’en ai des tonnes, et au fond, je me sens capable de les réaliser. Mais ma semaine de vacances m’a fait prendre conscience que je ne suis pas très heureuse et épanouie dans ma vie en ce moment, et peut-être… depuis 2019 en fait. Je suis dans un moment de ma vie où j’ai envie de mettre un grand coup de pied dans la fourmilière, de changer radicalement l’approche de ma vie pour quelque chose de beaucoup plus grandiose, stimulant, enrichissant, et épanouissant pour moi.

Or, je me sens dans un état très étrange, dépassée par les événements, pas dans le bon état d’esprit pour ça.

Alors voici ce que j’ai noté pendant ma balade inspirative :

Qu’est-ce qui m’empêche d’avancer :

  1. Le manque de clarté (sur ce que je veux faire) ;
  1. Le manque d’organisation (je me sens dépassée et je n’avance que sur le livre chaque jour) ;
  2. L’état d’esprit (je me sens trop dans la peur et l’état d’esprit de manque, pas assez dans la joie, la confiance).

Avec une amie entrepreneure, on a décidé de former un binôme de soutien. On a prévu de se faire une grosse session pour obtenir de la clarté et s’organiser, pas plus tard qu’après-demain. Mais je me dis que ça serait pas mal qu’on n’omette pas de travailler sur l’état d’esprit. Car je crois qu’un état d’esprit de doute est un énorme frein. Je crois qu’on a besoin de se sentir inspirées, au clair, confiantes, et boostées à bloc. 

En tout cas, moi, j’ai besoin de viser des choses grandioses, qui me font un peu peur, plus grandes que moi. Et d’avancer avec l’excitation que, peut-être, je pourrais y arriver, petit pas par petit pas. Et que ça serait génialement exaltant et satisfaisant si c’était le cas.

Pour obtenir de la clarté, je ressens le besoin de poser à plat toutes les idées que j’ai dans la tête, et de décider, concrètement, et sûrement, de ce que je veux mettre en place.

Je me restreins sans cesse et je suis en retard par rapport à moi-même

Je retiens mes idées pour suivre le conseil de ne pas s’éparpiller (et ça ne me fait pas du bien)

Ce qui m’a sauté aux yeux pendant cette balade inspirative, c’est que je me restreins énormément. Quand j’ai des idées, je les note, et je les garde pour plus tard. Résultat, j’ai une immensité d’idées qui n’ont jamais été mises en place.

Ce problème est récurrent pour moi. Ce n’est pas la première fois que j’observe ça. En 2021, j’avais décidé de mettre en place plein d’offres auxquelles j’avais pensé pour ma communauté. Ça a fait du bien. Puis après, les choses évoluent, j’ai envie d’autre chose, et je retombe dans le même schéma.

Pourquoi est-ce que je retiens ces idées au lieu de les mettre en place ? Eh bien ça vient d’une pensée qu’on a implantée en moi : “Il ne faut pas suivre toutes ses idées, sinon on se disperse et on n’avance pas vraiment vers ses objectifs”.

Mais ça aussi, c’est récurrent : je ne me reconnais pas là-dedans. Hier encore, j’étais à une rencontre avec des freelances qui ont tous un seul métier. Je ne me sentais absolument pas à ma place. Moi j’ai envie de créer plein de trucs dans tous les sens. Je veux créer, créer, créer. Dès que j’ai une idée, j’aimerais la mettre en place.

Mais je ne le fais pas. Parce que j’essaye de suivre ce conseil qu’on m’a donné. Le problème c’est que je ne suis pas vraiment heureuse, et je n’ai pas encore rencontré un véritable succès financier pour l’instant.

Donc pourquoi est-ce que je n’essaierais pas de faire à ma façon ? De faire l’opposé de ce qu’on nous dit tout le temps : suivre toutes ces idées, dès que je les ai.

En retard par rapport à moi-même : mes anciennes idées auraient du succès aujourd’hui

Car une autre frustration que j’ai est qu’il y a énormément d’idées que j’ai eues à un moment donné et qui, aujourd’hui, auraient du probablement du succès. Je pense par exemple au Design Humain. Si j’avais créé des choses autour de ça au moment où ça m’intéressait le plus, j’aurais probablement des entrées d’argent provenant de ça aujourd’hui, car c’est un sujet qui est devenu très tendance.

Mais moi je suis passée à autre chose et ça me demanderait beaucoup plus d’énergie de mettre ça en place aujourd’hui. C’est dommage. Avec le recul, je me dis que j’aurais dû surfer sur la vague de mon enthousiasme quand c’était le bon moment.

Mais je me restreins systématiquement. Je tire très fort les brides du cheval pour qu’il ne galope pas. J’essaye de tempérer, modérer mon excitation. J’essaye d’être raisonnable, en me disant qu’il faut rester concentrée sur le projet du moment, et qu’il y aura un meilleur moment, “plus tard”, pour mettre en place ce projet de façon structurée, réfléchie, organisée.

Sauf que je ne prends jamais ce temps pour le faire.

En résumé, j’ai l’impression de constamment passer à côté de ma vie créative, parce que je passe mon temps à me réfréner. 

Aujourd’hui, j’ai envie d’arrêter ça, car ça ne me rend pas heureuse. J’ai envie d’essayer de surfer sur mes idées, même si ça part dans tous les sens.

D’après le Design Humain, justement, je serais naturellement faite pour mener plein de projets de front, en même temps (car je suis “Manifesteur Générateur”). J’ai beau le savoir, me reconnaître là-dedans, j’ai un blocage qui m’empêche de le faire. J’ai sûrement peur d’échouer et d’avoir honte de ne pas avoir réussi de cette manière. 

Mais aujourd’hui, j’ai envie d’essayer d’arrêter de me restreindre. J’ai envie de lâcher les chevaux.

Les idées de projets qui ont émergé ou ré-émergé pendant cette balade inspirative

Pendant ces balades, j’ai aussi des idées de projets. Certaines sont nouvelles. Certaines sont des idées que j’ai déjà eues mais que je n’ai toujours pas mises en place. Aujourd’hui, ce ne sont que des idées que j’ai déjà eues. Parfois légèrement modifiées, avec de nouveaux apports.

#1 | Articles qui présenteraient des boutiques montpelliéraines

Ce que j’adore, quand je me balade, c’est découvrir des boutiques ou lieux que j’adore à Montpellier. Par exemple, aujourd’hui, dans une petite rue du quartier des Beaux-Arts, je suis passée devant ce qui ressemblait à une boutique-atelier. Il y avait une pancarte “Ateliers de dessin et peinture”. Moi je ne suis pas particulièrement intéressée par ces activités-là mais je ne sais pas, j’aimais la vibe de l’atelier et de ce qui était proposé. 

Tout de suite, quand je vois ça, j’imagine revenir et discuter avec la personne. Je ne le fais jamais le jour de ma balade, parce que je pense que j’ai envie de quelque chose de plus organisé, de ne pas y aller à l’improviste. J’aimerais avoir quelque chose de concret à proposer, comme une interview dans l’atelier et un article sur mon blog.

Mais chaque fois, je suis frustrée de ne pas avoir commencé cette démarche. Alors qu’en plus, je pense que les boutiques seraient très partantes, car ça leur ferait une publicité gratuite.

Je pense que ce qui me bloque, c’est que j’ai tendance à tout de suite douter de l’intérêt de ce type de contenu pour les gens. Je me dis “moi j’ai kiffé”, mais les montpelliérains connaissent déjà sûrement. Ils peuvent les trouver tout seuls. Et ceux qui n’habitent pas à Montpellier n’ont aucun intérêt à lire ça. Or, je veux que mon blog puisse s’adresser à tout le monde.

Mais à nouveau, j’en ai marre de me restreindre. Je repense à la phrase de Steve Jobs “You can only connect the dots backwards” : parfois, on ne sait pas pourquoi on fait certaines choses, mais elles prennent sens plus tard.

C’est aussi ce qui est conseillé aux Manifesteurs Générateurs en Design Humain. Sur Instagram, je tombe régulièrement sur des posts qui nous invitent à faire les choses, même si on ne sait pas pourquoi on les fait. D’avoir confiance dans le fait que le sens se verra plus tard.

Alors j’ai envie de tester ça.

Je me dis que j’en ai marre aussi de ne pas faire les choses sous prétexte qu’elles n’ont pas une utilisation “commerciale”. Je me rends compte que j’ai cette peur de passer du temps et de dépenser de l’énergie dans quelque chose qui ne rapportera pas d’argent. Probablement parce qu’aujourd’hui, je n’en gagne pas assez (enfin, on peut presque dire pas du tout, mais j’ai quand même de mini revenus qui tombent tout seuls de mon ancien blog).

Or, je crois que, parfois, le modèle économique, ou l’opportunité de le transformer en gagne-pain, peut venir après. Car on ne contrôle pas tout. Certaines choses existent, dont on n’a pas connaissance. Et il suffit d’une personne qui a envie de nous faire une proposition, pour que ça change la donne.

Alors j’aimerais m’organiser pour mettre cette idée en place.

#2 | Créer une collection (écolo ?) de papèterie et la vendre en ligne ou dans une boutique

Pendant ma balade, je suis passée flâner dans les rayons de Monoprix. Ils avaient une collection de carnets et autre papèterie (semainier, to do list à afficher au frigo, aimants pour le frigo, crayons à papier…) qui me plaisait beaucoup. 

Ça a relancé mon envie de créer mes propres collections. Elle est là depuis longtemps. En 2020, j’avais même lancé un appel à candidatures au sein de ma communauté pour réaliser le graphisme d’un premier carnet. Mais ça m’aurait coûté plusieurs milliers d’euros et je n’étais pas prête à ça à ce moment-là. J’ai décidé de garder ce projet pour plus tard.

Ce que je me suis dit c’est que Monoprix peut proposer des prix bas parce qu’ils ont des tarifs de production de masse. Moi je n’aurais pas ça, donc il faudrait que je trouve un bon compromis entre le prix de ce que je propose, et une proposition de valeur qui le justifie.

Je me suis dit que je pourrais réaliser les graphismes moi-même. Je suis nulle, et pas du tout graphiste. Mais parfois je vois des livres dont le graphisme, que je trouve super joli, vient de Shutterstock ou site du genre. Je me dis qu’il y a peut-être moyen de réussir à créer un graphisme pas trop dégueu, simplement, et que moi-même j’achèterais si je le voyais.

Autre réflexion : la réelle utilité de cette papèterie. En tant que consommatrice, quand je vois ces produits, j’ai envie de tout acheter. J’ai dû me retenir de tout prendre. J’ai déjà eu des semainiers et je ne les ai pas utilisés. J’ai déjà des blocs de to do list, donc pas envie d’en ajouter tant que je n’ai pas terminé ceux-là (même si aimanté au frigo, c’est plus chouette).

Et justement, je me suis demandé si je pouvais les fabriquer moi-même, pour moi, au lieu de les acheter. Ça, c’est en tant que consommatrice qui veut limiter ses achats et apprendre à faire des trucs elle-même.

Du coup, autre idée liée : si j’arrive à le faire, je pourrai enseigner comment faire (dans un livre, un programme en ligne…).

J’ai aussi pensé à créer une box de papèterie, comme celle que je recevais de Papergang. Le problème c’est que je n’utilisais pas tout ce qu’il y avait dans ces boîtes livrées chaque mois. Et moi je n’ai pas envie de contribuer à la société de consommation. Au contraire, je veux inviter les gens à faire des achats modérés, responsables. Juste ce qu’on utilise vraiment. Donc peut-être faudrait-il une flexibilité pour choisir ce qu’il y a dans la box.

Ça pourrait aussi être juste une box à offrir comme cadeau, dans laquelle on peut choisir le contenu (ne pas mettre un objet si on estime que la personne à qui on offre ne va pas s’en servir). Je verrais plutôt ça sur Etsy, le site de vente d’artisanat, pour de la commande personnalisée. Ou alors ma propre boutique e-commerce sur mon site, à voir.

Et pour couronner le tout, j’aimerais que la production soit écolo.

Autre dérivé : du fait main. Poser moi-même les aimants sur les to do list par exemple. Mais ça, ce serait de la production artisanale. Ce n’est pas le même type de production que quand on trouve des fournisseurs avec qui travailler.

Comme il y a beaucoup de complexité dans cette idée, il faudrait que je la creuse et la décompose, puis choisisse une première étape, la plus simple possible pour commencer.

#3 | Créer une boutique de vêtements d’occasion, dans un style que j’aime

Il y avait des vêtements que j’aimais bien chez Monoprix. Mais je veux vraiment limiter mes achats de vêtements neufs. Je trouve qu’il y a déjà teeeeeellement de vêtements et d’objets sur Terre. Je pense qu’il y aurait moyen de trouver des pièces d’occasion qui ressemblent à ce que j’ai vu en magasin. Car c’était assez simple quand même.

C’est tout le principe du vêtement d’occasion.

Le truc c’est que, si j’avais une boutique de vêtements d’occasion, j’aimerais qu’on soit sûr de n’y trouver que des choses que moi-même j’adore ou porterait. Car il peut y avoir cette sensation de perdre son temps dans une boutique d’occasion parce qu’il faut parfois regarder de nombreux vêtements avant de tomber sur un truc chouette.

C’est chiant pour le consommateur (moi y compris). Mais je crois que ça peut aussi être un frein pour que les gens achètent davantage d’occasion.

Je connais une boutique, par exemple, où on sait qu’on va trouver des vêtements très colorés et fleuris. Si on aime bien, alors c’est plaisant car on sait qu’on ne va trouver que ça là-bas, et pas devoir fouiller à la recherche de ce style.

Bon ça, ce n’est clairement pas un projet pour tout de suite car avoir une boutique physique est extrêmement plus complexe que tout ce qui est en ligne. En attendant, je veux explorer tous ces modèles autour de l’occasion, car ça me passionne. D’abord me renseigner, comprendre ce qui existe, comment ça fonctionne. Et je verrai ensuite si je le crée ou pas.

#4 | Je voudrais lire des tonnes de livres et partager mon avis

Je suis passée à la Fnac et, comme d’habitude, j’ai eu envie d’acheter le rayon “Développement Personnel” en entier et tout lire.

J’aimerais beaucoup avoir un rythme de lecture. Par exemple, 1 livre par semaine à lire. Et que des gens soient en attente de mon retour là-dessus. Avoir une petite communauté qui aimerait connaître mon résumé et ce que j’en pense.

Ça, c’est une idée qui pourrait être mise en place facilement et rapidement. Reste à la creuser un peu pour voir quel type de livre, est-ce que je fonctionne par thématique pendant un mois par exemple. Et voir ce qui pourrait justifier de mettre un modèle économique dessus.

#5 | Écrire une série autobiographique, par catégorie de pan de vie

Dans ce rayon, je suis tombée sur un livre autobiographique d’un influenceur. Je me suis sentie jalouse : moi aussi j’aimerais écrire une autobiographie.

Mais quand tu n’es “personne”, tu te demandes qui pourrait en avoir quelque chose à faire que tu racontes ta vie. Et à la fois, moi je trouve ma vie très intéressante, hahaha. Mais justement, n’y a-t-il pas que moi ? 

C’est là que j’ai eu l’idée de faire une série autobiographique par pan de vie. Une concernant la vie professionnelle, et une la vie sentimentale par exemple.

J’imaginais une série de plusieurs livres.

Mais au final, je ne suis pas sûre de vouloir partager les détails de ma vie sentimentale (un des pans possibles). Je ne suis donc pas trop sûre de cette idée. Mais ça a au moins fait émerger mon envie d’écrire une autobiographie. Donc idée à creuser pour voir comment je pourrais la découper.

J’avais participé à une conférence sur l’écriture de biographies et on avait vu qu’on pouvait découper par section de vie aussi…

#6 | Poster mes phrases sur Instagram

Bon, ça, c’est ce que je me dis à chaque fois que je me balade et que j’ai mes fameuses phrases qui me viennent en tête. J’en ai déjà parlé au début de cet article. Mais je l’indique car ça fait partie des idées/envies qui reviennent à chaque fois et pour lesquelles je n’ai toujours pas sauté le pas…

#7 | J’aimerais inventer des concepts

Dans le rayon de livres, je suis tombée sur “Détox émotionnelle”. J’ai bien aimé le concept.

Le matin, au Café Freelance, j’avais entendu parler du “Slow Freelancing”. J’ai bien aimé aussi. J’adore ces expressions qui traduisent des concepts qu’on comprend à peu près instantanément.

Je me suis dit que moi aussi je voulais inventer des concepts. Bon, je l’ai déjà fait. Avec le Business Boule à Facettes, les Papillons (personnes qui créent ce type d’activité, qui veulent faire plein de choses), et l’Entreprise de l’instant présent. Mais ça n’est pas allé au-delà de ma communauté.

J’aimerais bien créer des concepts qui deviennent utilisés au-delà de ma communauté. Mais ça, ça ne peut pas être un objectif. D’abord, il me faut passer du temps à réfléchir à des sujets et problématiques. Car c’est de là qu’émergent les idées de concepts.

Il faut donc que je mette à plat les sujets sur lesquels j’ai envie de plancher ces prochains temps, puis voir ce qui sort naturellement.

#8 | Annoncer aux gens ce que je compte faire et leur demander de l’aide, des ressources

Et enfin, là, c’est plutôt une idée de fonctionnement que de projet.

Ça fait un moment que je sens que je n’ai pas simplement envie de mettre en place mes projets mais que j’aimerais le faire en impliquant ma communauté : annoncer tous mes projets à l’avance, même s’il y en a beaucoup, qu’ils sont ambitieux, et que je n’ai aucune idée de comment je vais faire. Puis de faire appel à ma communauté pour me conseiller des livres, des ressources, des gens à contacter, des lieux à visiter, pour m’aider à concrétiser ces projets. Et afficher, de façon ludique sur mon site, l’état d’avancement de ces projets.

Plusieurs choses m’ont freinée jusqu’à présent. Bon, déjà, il faut que je définisse ces projets et les objectifs exacts, pour pouvoir les présenter.

Mais surtout, je sais que j’ai peur de deux choses.

Premièrement, j’ai peur d’annoncer que je vais faire des choses, et finalement ne plus avoir l’envie ou l’énergie de les faire, et que les gens soient déçus ou m’en veuillent.

Pourtant, à nouveau ici, il est dit que c’est le propre des Manifesteurs Générateurs (Design Humain) de devoir accepter de délaisser les projets dès qu’ils ne sont plus justes pour eux, et que cela peut arriver plus vite et plus souvent que la norme. 

Je l’ai déjà fait par le passé, et c’était mieux pour moi ainsi. Mais une part de moi n’a pas complètement fait la paix avec ce principe de vie. Or, aujourd’hui, j’aimerais changer ça. J’aimerais accepter que je suis comme ça, et que ce n’est pas si grave si j’abandonne les projets. 

Au contraire, je pourrais être une représentante des Manifesteurs Générateurs en puissance. Une représentante de quelqu’un qui sait s’écouter et accepter de passer à autre chose. Ainsi arrêterais-je peut-être d’être “en retard par rapport à moi-même” parce que j’aurais traîné trop longtemps sur un projet qui ne me correspondait plus, au lieu d’aller sur ceux qui me plaisent vraiment.

Ma deuxième peur, c’est de me sentir surveillée si j’annonce ce que je compte faire. J’ai un tempérament très indépendant. J’adore travailler toute seule, sans personne pour regarder par-dessus mon épaule. J’ai peur de sentir des attentes chez les gens et que cela me gêne. Là je dois décider une bonne fois pour toute si je préfère avancer seule et en parler simplement dans les newsletters ou autres contenus, ou si je préfère avoir ce côté “jeu” et “je pars à l’aventure, je me lance un défi”, mais qui impliquerait que les gens suivraient cette aventure.

***

Merci d’avoir lu cet article. Si tu as des retours, je serai heureuse de les lire en commentaires (enfin sauf si ce n’est pas sympa bien sûr… 🙃)

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