Bilan Juillet2022

Bilan Mois de Juillet & Intentions d’août 2022

Hello hello !

Nous sommes le 4 août 2022 à l’heure où j’écris. J’estime avoir suffisamment avancé sur mon livre aujourd’hui et avais envie de profiter du temps restant pour écrire un bilan de mon mois de juillet (tous sujets confondus), et poser mes intentions pour le mois suivant.

Attention, ce bilan n’est pas purement professionnel. Je vois ma vie comme un puzzle, fait de mes différents sujets d’intérêts du moment. Je vois certains comme des sujets “pro” dans le sens où j’ai l’intention de gagner des revenus avec (écrire un livre par exemple). D’autres plus de type loisir. D’autres semi-loisir, semi-pro (mes formations dans les disciplines ésotériques). D’autres plus perso (bien-être personnel). Ou semi-perso, semi-pro (écologie personnelle quand je travaille). 

Ce qui compte c’est que toutes ces choses représentent ce dans quoi je mets de l’énergie au quotidien, ce qui me prend du temps de cerveau et du temps tout court, et ce qui me génère des émotions. Alors mon bilan contient tout ce que je juge avoir été important ce mois-ci, que ce soit pro ou pas.

Bilan du mois de juillet 2022

Fin de ma formation en tarot divinatoire

Les derniers cours de ma formation au tarot divinatoire ont eu lieu début juillet. La formation aura duré trois mois en tout. J’étais à fond les sept premières semaines, puis ai senti un début de désintérêt les sept autres. Je commençais à en avoir marre d’entendre parler de tarot, j’avais besoin d’une pause.

Ma conclusion au sujet de cette formation est que ce que je venais y chercher principalement était une forme de validation : qu’une tarologue professionnelle puisse me dire si je faisais bien les choses ou pas (en plus de m’apprendre comment tirer les cartes). Ça m’a rassurée mais malgré tout, je ne me sens pas du tout experte dans le tirage de cartes encore. Ça demanderait de l’entraînement mais je n’ai pas le désir de développer mes compétences à fond là-dessus. Concernant les pratiques ésotériques, je me vois plus comme un petit papillon qui aime butiner : j’aime les découvrir, comprendre comment elles fonctionnent, les pratiquer un peu et les ajouter comme corde à mon arc. Mais l’idée n’a jamais été de devenir une experte jusqu’à présent.

Quelques semaines après la fin de la formation, je recommence à faire un peu de tarot. Pour moi, pour m’amuser à essayer de prédire ce qu’il va se passer dans mon mois ou dans un certain secteur de ma vie. De temps en temps, je fais un tirage à un ami, pour le fun, pour passer un bon moment, et parce que je sais maintenant le faire.

Ce dont je me suis rendu compte avec cette formation, c’est que ce qui m’intéresse le plus n’est pas tant de savoir pratiquer la discipline à fond, mais avant tout de comprendre comment ça fonctionne et de savoir l’utiliser, un peu. Au sujet de la compréhension, j’ai encore des frustrations. L’ésotérisme est abstrait et lié aux “énergies”. C’est difficile pour mon esprit très structuré. J’aimerais pouvoir donner des définitions précises à chaque élément, les ranger dans des cases d’une certaine façon. Mais “l’énergie” est beaucoup plus diffuse que ça. Je pense quand même qu’il y aurait quelque chose à faire autour de la compréhension de ces pratiques. Peut-être que c’est cet aspect qui donnera lieu à de futurs livres. Je ne sais pas encore.

Je n’ai pas encore d’autre discipline ésotérique à apprendre en vue. Quand j’avais terminé ma formation en Astrologie en décembre 2021, j’avais ressenti le besoin d’une pause, tout en sachant que mon prochain sujet serait “la cartomancie”. En laissant les choses se faire naturellement, et grâce à une synchronicité, c’est effectivement le chemin que j’ai emprunté quatre mois plus tard.

En ce moment, j’ai la tête dans mon livre et mon énergie est principalement envoyée là-dessus. Je ne pense pas avoir la disponibilité d’esprit pour m’intéresser à une nouvelle pratique ésotérique maintenant. Mais je pense que ça viendra, à un moment où le calme reviendra. Cette fois-ci, je ne suis pas sûre de quelle sera la prochaine discipline. J’ai un livre de numérologie et un de lignes de la main chez moi, peut-être que ce sera autour de ça. Ou bien peut-être s’agira-t-il d’un sujet que je n’ai pas encore découvert (de plus grandes chances à mon avis). On verra !

Dernier tournoi de spikeball de la saison

Le spikeball est mon sport favori et auquel je me suis mise sérieusement depuis janvier 2022. Très peu de monde connaît, alors voici une chaîne Youtube sur laquelle tu pourras voir à quoi ça ressemble et même apprendre à jouer. Louis et Thomas jouent depuis longtemps et ont apporté le spikeball en France. Louis est une des premières personnes avec qui j’ai joué à Montpellier et grâce à ses conseils (il est un des meilleurs joueurs, leur équipe fait d’ailleurs partie de celles qui représenteront la France au premier championnat du monde en septembre). 

C’est ça qui est super chouette dans le spikeball : c’est encore un petit monde, on recroise les mêmes personnes d’un tournoi sur l’autre et on a l’opportunité de jouer avec et contre les meilleurs.

D’ailleurs, en juillet a eu lieu mon dernier tournoi de la saison 2022. Depuis janvier, j’en ai fait quatre :

  • Toulouse les 23/24 avril ;
  • Paris les 7/8 mai ;
  • Le championnat de France à Lyon les 18/19 juin ;
  • Et le dernier : le “challenger”, tournoi européen à Paris les 2/3 juillet.

Faire des tournois faisait partie de mes envies alors je suis super contente. J’ai eu trois partenaires féminines différentes et deux partenaires masculins différents (c’est un sport qui se joue à deux contre deux, en double homme, femme, ou mixte).

Le “challenger” était organisé par la marque Spikeball (en fait “Spikeball” est le nom de la marque qui fabrique le matériel, et le vrai nom du sport est “Roundnet”, mais nous les français n’aimons pas trop ce mot, qui ne rend pas très bien, prononcé avec notre accent français, donc nous disons souvent “spikeball” pour parler du sport).

Le but du tournoi était que les meilleurs européens s’affrontent. Je n’en fais pas partie, mais le tournoi était ouvert à tous, avec des paliers de niveau possibles. Sauf qu’en mixte, notre division 2 a été mixée à la division 1, ce qui fait que, pour notre premier match, nous avons joué contre la meilleure équipe européenne ! On s’est pris 21-3, sans qu’ils n’aient plus d’effort que ça à faire, mais c’était super chouette. On a vraiment pris ce tournoi comme une opportunité de jouer contre des supers joueurs. C’est ce qu’il s’est passé, donc on est contents !

Après ce tournoi, j’ai eu envie de faire un peu une pause du sport. Déjà parce qu’il fait super chaud cet été et que je trouve ça difficile de jouer dans ces conditions. Mais aussi parce que j’ai mis beaucoup d’énergie là-dedans ces derniers mois et que j’avais besoin d’un peu de calme après la tempête.

Je ne sais pas encore si le Spikeball restera “mon” sport. J’ai tendance à m’intéresser à des choses à fond puis les délaisser. Mon pari est que le spikeball restera mon “sport de fond” : j’irai de temps en temps. Probablement que je me remotiverai pour la saison des tournois 2023, mais rien de sûr à tout ça. Je me vois bien m’intéresser à autre chose entre temps. En ce moment, j’ai envie de recommencer à courir, et je vois que je zyeute ce qui parle de trail. Mais habituellement je m’intéresse plutôt à des sports atypiques (ce qui n’est pas le sens du running ni du trail à mon sens), donc peut-être que je me prendrai de passion pour le padel (pas encore essayé et pas encore super répandu ; à ne pas confondre avec le paddle bien sûr ;)). Ou bien le tambourin (il y a un terrain à côté de celui de spikeball à Montpellier et je trouve ça rigolo comme sport). On verra, ce sera la surprise !

Finalisation de la version 1 de mon livre

Le 26 juin, j’ai commencé la rédaction de mon livre “Comment vivre de l’écriture de livres de non-fiction” (enfin, recommencé une cinquième fois, sauf que cette fois-ci je suis allée au bout car le plan me convenait bien mieux). J’ai terminé la version 1 de ce livre douze jours ouvrés plus tard (le 19 juillet).

Je n’étais pas super satisfaite de ce que j’avais écrit. Mon objectif ici était de parvenir coûte-que-coûte à finaliser une première version. Les six premiers jours, j’étais plutôt contente. Les six suivants, j’en avais déjà marre d’écrire ce livre. Je me suis forcée, parce que je ne voulais pas m’arrêter au milieu, avec le risque de ne plus jamais m’y remettre.

Du coup, je considère avoir un peu “bâclé”. Je suis allée vite, aussi vite que je pouvais. Il faisait chaud, ça me prenait pas mal la tête, mais à la fin, j’ai eu ma version 1 finalisée.

Le but ensuite était de laisser reposer tout ça, puis de revenir avec un œil neuf plus tard afin de transformer cette première version en une version qui me satisferait vraiment (ce que je suis en train de faire actuellement, mais ce sera une histoire pour août ;)).

Au final, cette première version a été écrite très vite. Je ne m’en suis pas forcément rendu compte avant de calculer que je n’avais mis que douze jours (à raison de 3 ou 4h par jour). Cette version faisait 43 097 mots, soit 90 pages word, ce qui représente environ 160 pages d’un livre de format moyen (pas poche). 

Quand j’ai publié mon bilan sur instagram, plusieurs personnes m’ont fait remarquer que j’étais allée super vite. C’est surtout là que j’en ai pris conscience. Car, de mon point de vue, je voyais surtout le fait que le temps m’avait paru long (du fait que j’en avais marre d’écrire la deuxième moitié du temps) et que je savais que j’allais devoir retravailler dessus.

Mais c’est vrai que douze jours, c’est court. Et en réalisant ça, je me suis sentie plutôt fière. À vrai dire, je me suis aussi dit “oui mais c’est moi”. Je sais que j’aime quand les choses vont vite, et je sais que je suis capable d’aller vite. Quand je raconte à des gens que j’aimerais écrire un livre par mois, on me répond systématiquement “c’est compliqué !”. Et dans leurs yeux je lis de la méfiance qui sous-entend “voire impossible…”. Je rétorque que Jupiter Phaeton a écrit jusqu’à deux livres par mois.

Je ne dis pas que je vais y arriver tout de suite. Rien que pour ce premier livre, en prenant en compte le temps passé à lire des livres sur le sujet, à changer cinq fois de plan, à rédiger la V1, laisser reposer, puis commencer la réécriture, j’en suis à dix semaines (deux mois et neuf jours). Et je pense que la réécriture va me prendre plusieurs semaines, puis le temps que les bêta-lecteurs lisent (2 ou 3 semaines), puis le temps que je le révise à nouveau (disons 2 ou 3 semaines aussi), puis de le mettre en forme, créer la couverture, créer tout ce qu’il faut pour le publier en ligne… Au final, je pense que je vais dépasser les trois mois que je m’étais donnés pour objectif.

Mais je m’étais dit ça par peur de me lasser et ne pas aller au bout. Dans la phase actuelle, je sens que j’ai encore de l’énergie pour avancer et aller au bout. Je n’envisage pas que ce ne soit pas le cas. Au pire, si je vois que j’en ai marre, soit je trouverai des raccourcis, soit je ferai une pause avant de reprendre.

Beaucoup de prises de tête au sujet de la stratégie de marketing à adopter pour le blog et le livre

Le marketing autour du livre pour avoir des acheteurs le jour J

L’écriture du livre, c’est une chose. Mais autour, il y a tout le marketing à mettre en place pour avoir des acheteurs le jour J. Et là, je me suis pris la tête comme pas possible.

Il y a tellement d’options, de possibilités, de trucs auxquels penser… Je me sentais submergée et j’ai passé beaucoup de temps à essayer de trier toutes ces informations et décider dans quel ordre faire quoi, à quel moment.

Un jour, je me suis motivée et j’ai créé tout un système de liste d’attente et co-construction. Je m’étais dit : je crée cette liste, ainsi pourrai-je échanger avec les inscrits pour m’aider à finaliser le titre, le choix de la couverture, et y trouver des bêta-lecteurs.

Initialement, je comptais écrire des articles pour attirer des gens intéressés par le sujet, que j’aurais invités à s’inscrire à la liste. Ça, c’est un bon plan pour le moyen terme. Mais à court terme, ça a peu de chances de marcher. Déjà, je n’ai pas trouvé l’énergie d’écrire des articles sur l’écriture en plus de mon livre, ça faisait trop. Je pensais les écrire pendant ma semaine de pause, mais j’en avais tellement ras-le-bol des derniers jours d’écriture que je voulais juste me reposer le cerveau et ne plus penser à ce sujet pendant quelques temps. Donc pas envie d’écrire des articles pendant cette période-là non plus.

Finalement, j’ai pensé à une idée plus court-termiste pour atteindre mes objectifs : envoyer un email à la liste des 100 abonnés de ce blog. Je n’avais pas donné de nouvelles depuis mars donc c’était l’occasion de le faire.

Sauf qu’au lieu de les inviter à s’inscrire à la liste d’attente, j’ai directement dit que je cherchais des gens intéressés par le sujet, et que j’aimerais les appeler pour échanger. Car, d’expérience, je comprends mieux les attentes et besoins des gens quand je les ai au téléphone que via des sondages écrits. Et comme je n’étais pas ultra satisfaite de ma V1 du livre et souhaitais l’améliorer, j’ai voulu faire ça.

Bon tu vois, un pataquès.

Point positif : des personnes ont répondu à ma sollicitation (par email, et aussi suite à une story instagram) et j’ai pu procéder à cette étape d’échanges, que je trouve éclairante. Ça me permet de me rendre compte des questions qui reviennent le plus souvent, de ce qui est important à savoir pour les gens, et donc de réviser mon livre en fonction, afin qu’il réponde mieux aux besoins.

Difficulté à développer la communauté en parallèle du livre

Ce qui était compliqué aussi, c’était d’être sur deux fronts en même temps :

  • Développer une communauté de gens intéressés par le sujet de mon livre du moment ;
  • Mais aussi développer une communauté plus large intéressée par l’ensemble des sujets du blog.

Ma hantise serait que les gens pensent que je ne compte écrire que des livres à destination des auteurs. J’en écrirai probablement plus d’un. Mais ma priorité sera d’abord d’écrire sur un autre sujet, pour assouvir mon besoin de variété. Et pour que ce second livre se vende, il faudrait que j’aie développé une communauté avant de le commencer. Ainsi, je pourrais échanger avec les gens AVANT de commencer la première version du livre, et gagner du temps.

Sauf que pour développer cette communauté, il faudrait que j’écrive de nouveaux articles sur des sujets variés (pour les attirer) et que j’envoie une newsletter hebdomadaire (pour créer une ambiance, commencer à apporter de la valeur et ne pas juste débarquer le jour où j’ai besoin d’eux). Mais je n’ai pas plus trouvé l’énergie d’écrire des articles pour cette partie que pour le sujet “écriture”. Après l’écriture de la V1 de mon livre, j’étais rincée et je voulais juste ne rien faire de tout ça. J’avais besoin de repos mental. 

Idem pour la newsletter : je ne veux pas la commencer pour ensuite ne pas réussir à tenir le rythme de semaine en semaine. Je préfère attendre de sentir que je vais pouvoir tenir cet engagement.

Résultat : pas vraiment de création de communauté pour l’instant. Je sais que c’est un “manque à gagner” et que ce serait mieux de commencer à faire ça dès maintenant. Mais écrire un livre requiert beaucoup de ressource intellectuelle et ça ne m’en laisse pas suffisamment pour le reste pour l’instant. Pour réussir, il faudrait que j’accepte d’avancer moins vite sur mon livre en en faisant moins par jour. Mais je n’arrive pas à m’y résoudre. Je sens que mon énergie est vraiment portée là-dessus, que je tiens à le terminer une bonne fois pour toute, et que je préfère donc passer mon quota de 3h par jour à ça.

On verra où tout cela nous mène !

En tout cas, ce mois de juillet a été rempli de prises de tête à ce sujet. Finalement, comme je n’arrivais pas à tout faire, je suis revenue à l’essentiel (les appels + la révision de mon livre par moi-même).

Prise de tête sur tout ce qui suivra la réécriture

Je me suis aussi pris la tête sur tout ce qui va suivre : bêta-lecteurs, correction, couverture, titre, choix d’un nom de marque pour l’ensemble de mes livres… Ça aussi ça fait beaucoup de choses auxquelles penser. Ce qui me prend la tête, c’est tout ce qu’on conseille de faire à ce sujet et qui me paraît lourd. Moi j’ai envie d’aller vite. Alors je sens que je ne vais pas suivre tous les bons conseils et oser prendre le risque de faire autrement. On verra si je maintiens cette position d’ici la fin de la réécriture du livre…

J’ai avancé sur le podcast

Un bon point sur lequel j’ai avancé ce mois-ci : 

  • J’ai contacté trois auteurs que j’aimerais interviewer pour mieux comprendre certaines choses autour du sujet de mon livre : une m’a répondu et nous avons déjà fait l’interview (que je posterai plus tard), la deuxième m’a dit de la recontacter quand j’aurai publié 30 épisodes sur le podcast, et le troisième n’a pas (encore) répondu.
  • Dans la foulée, je me suis dit que ça serait d’autant mieux de partager ça sur un podcast et donc que c’était le moment d’en créer un (alors que je pensais le faire plus tard) ;
  • J’ai trouvé un nom pour ce podcast (qui sera dévoilé le jour où je publie le premier épisode ;)), et sans trop me prendre la tête (alors que trouver des noms, c’est souvent compliqué pour moi !)

J’ai aussi fait une liste d’une trentaine de personnes que j’aimerais interviewer sur tout un tas de sujets. Je voulais les contacter en bloc et aller interviewer les premiers qui répondraient. Mais à nouveau : problème de temps et d’énergie. Je sens que j’ai besoin de rester focalisée sur la réécriture du livre. Pour l’instant, je suis dans les échanges autour de ce sujet donc je préfère ne faire que ça, et attendre d’avoir fini cette étape avant de passer à d’autres sujets.

Je me suis pris la tête pendant des heures pour comprendre comment avoir une installation de qualité pour réaliser des podcasts à deux personnes (l’interviewé et moi), et en extérieur. Après des heures de recherche, je crois avoir trouvé le matériel à acheter. Mais je voulais encore comparer deux marques avant de me décider. Du coup ce n’est toujours pas acheté. Mais comme je n’ai pas d’interview physique prévue pour l’instant, ce n’est pas urgent et j’ai mis ça de côté.

Conclusion de toutes ces prises de tête : finalement, j’ai préféré revenir à l’essentiel de ce que je me sentais de faire. Tant pis pour le reste. Idéalement, il aurait fallu que j’arrive à faire tout ça en même temps. Mais ce n’est pas le cas. Ou en tout cas je choisis de mettre mon énergie et mon focus uniquement sur le livre. Il faudra donc que je trouve le temps plus tard pour faire tout ça, créer des routines.

J’ai trop travaillé sur le livre, et seulement le livre (épuisement mental)

J’avais tellement envie d’avancer sur le livre que je n’ai fait quasiment que ça pendant les douze jours où je l’ai écrit. Je n’avais pas d’autre projet qui me bottait par ailleurs donc mes journées étaient majoritairement constituées d’écriture et de pauses.

Ne pas laisser mon cerveau faire de pause vis-à-vis de ce sujet et ce type de travail m’a menée à un épuisement mental. Je savais que ce n’était probablement pas la meilleure chose à faire, que je devrais m’extraire un peu de ce sujet, faire d’autres choses. Mais je n’arrivais pas à m’y résoudre (à part quelques courtes balades en nature) car j’étais trop impatiente de voir le livre avancer.

Ce n’est pas un rythme que j’ai envie de conserver. Début août, j’ai eu l’opportunité de tester un autre rythme, où j’ai ramassé des oignons dans les Cévennes le matin, et ai travaillé sur mon livre l’après-midi pendant 3h en moyenne. Faire autre chose que penser à mon livre le matin m’a fait beaucoup de bien. Chaque après-midi, je revenais avec un stock d’énergie mentale plein (physique non, à cause du dur labeur du matin, mais comme je suis assise devant mon ordinateur, ce n’est pas trop gênant ; je pense même que la (bonne) fatigue du corps aide mon mental à être plus productif). J’ai très bien avancé sur la réécriture de mon livre avec cette organisation-là donc j’aimerais réussir à la reproduire, même quand j’aurai terminé ma semaine de ramassage d’oignons.

Bien-être perso : beaucoup de stress et émotions, mais de belles évolutions significatives

Juillet a été un mois très stressant et plein d’émotions pour moi. En plus de l’épuisement mental lié au livre et des prises de tête autour des tâches marketing à mettre en place, j’ai vécu plein d’autres situations dans ma vie perso qui m’ont demandé de me dépasser.

Depuis quelques temps, j’ai décidé d’aller voir une psychologue (à raison d’une fois toutes les deux ou trois semaines). Je sentais que je voulais débloquer des choses à l’intérieur de moi mais je n’arrivais pas à mettre le doigt sur ce que c’était exactement.

La psy que j’ai trouvée me correspond très bien. Grâce à elle, j’ai conscientisé certains de ces blocages. Et la prise de conscience est un premier pas vers le changement. Ensuite, il se trouve que l’Univers m’a envoyé (c’est ma vision des choses) plusieurs situations pour “m’entraîner” à dépasser ces blocages identifiés. Le timing était incroyable. Justement quand j’ai mis le doigt dessus, je me suis trouvée presque obligée de traverser une situation en lien avec ce blocage.

Tout était en lien avec ma façon de communiquer avec les hommes de ma vie (que ce soit mon père, mon frère, où dans ma vie sentimentale). Je me suis retrouvée à déballer tout un tas de choses à une personne qui me plaît depuis longtemps et face à qui je ressentais énormément de blocages. À peine ce moment passé (qui m’a demandé du courage), j’ai eu une première discussion différente de d’habitude avec mon père. Puis juste après, j’ai dû en avoir deux autres, avec mon frère, puis mon père. Je ressentais énormément de peurs vis-à-vis de ces conversations que je devais avoir, ça m’a beaucoup stressée. Mais à la fois, je savais que ces moments étaient des passages obligés si je voulais dépasser mes blocages intérieurs.

C’était très désagréable de ressentir ces émotions négatives. Mais une autre part de moi est fière et heureuse d’en être passée par là. Certaines conversations ont amélioré les choses avec les personnes concernées, à mon sens. D’autres ont été un premier pas sur un chemin pour mieux exprimer ce que je ressens vraiment. Même si ça m’a fait peur, l’avoir fait a comme réduit légèrement cette peur pour la prochaine fois. J’ai la sensation qu’à force de le faire, ça deviendra de plus en plus normal pour moi. La peur a diminué, mon expression de mes émotions et besoins s’est améliorée.

Je suis quand même soulagée à l’idée que ces “gros morceaux” soient passés et que je peux maintenant me “reposer” un peu de tout ça.

J’ai repris le contrôle sur mes finances

En 2021, j’ai décidé d’arrêter d’être obsédée par mes dépenses

En 2019 et 2020, je ressentais beaucoup d’insécurité financière, alors même que j’avais pas mal d’argent de côté. Adepte de la loi de l’attraction, j’ai décidé -en décembre 2020- de me comporter comme si j‘avais (recevais) déjà l’argent tout l’argent nécessaire. J’ai arrêté de compter les dizaines de centimes dans mes dépenses, de regarder le prix de ce que j’achetais quand je faisais mes courses ou même mangeais au resto.

Je n’ai pas changé de mode de vie. Je ne me suis pas mise à dépenser pour tout un tas de trucs que je ne faisais pas avant. Je me suis juste autorisée à manger un peu plus dehors, à acheter les livres qui me faisaient plaisir sans me dire “ohlala, j’ai dépensé tout ça”. En fin de compte, j’ai enlevé la culpabilité autour de mes dépenses, l’obsession vis-à-vis des prix, et la peur du manque qui créait ce sentiment d’insécurité financière.

Depuis, j’ai gagné de l’argent, mais j’ai aussi dépensé de l’argent de mes comptes en banque, car je n’en ai pas fait rentrer suffisamment. Mais l’insécurité financière n’est pas revenue. J’étais simplement dans l’état d’esprit que j’avais de la chance d’avoir cet argent de côté et me suis mise d’accord avec moi-même pour en dépenser une partie le temps de créer ma nouvelle activité et faire rentrer de l’argent avec elle.

En juillet 2022, j’ai eu envie de modérer à nouveau un peu mes dépenses, mais sans anxiété

Mais en juillet, plusieurs échanges avec des personnes m’ont donné envie de remettre un peu de contrôle sur mes finances, dans l’idée de réduire la voilure à laquelle je dépense ce que j’ai sur mes comptes en banque. Je ressens l’envie d’avoir une approche un peu plus réaliste des choses : faire quand même un peu attention à ce que je dépense (ex : faire mes courses à Lidl plutôt que la supérette du coin qui coûte plus cher), éviter certaines petites dépenses inutiles (le jus de fruit de plus quand je bosse dans un café, pas parce que j’ai soif mais parce que j’ai peur qu’on me reproche d’être là depuis trop longtemps). 

J’ai aussi envie de faire entrer de l’argent lorsque mon livre sortira (et les suivants). Mais je ne sais pas combien de temps cela mettra, alors autant essayer de conserver un peu plus d’argent sur mes comptes afin de pouvoir tenir plus longtemps si jamais l’argent tardait à entrer.

Et au-delà de ça, je trouve que faire attention à ses dépenses, c’est aussi respecter son argent. Et j’ai la sensation (sûrement lié à la loi de l’attraction) que cela peut contribuer à en gagner davantage, tant qu’il n’y a pas d’émotion négative autour de ces restrictions (que “faire attention” vient d’une envie et pas d’une peur).

Mon envie de faire attention à mes finances a-t-elle été influencée par Saturne rétrograde ?

Quand j’ai des envies comme ça sur une période du mois, je regarde ce qu’il se passe du côté des astres (astrologie). J’observe souvent une corrélation entre mon envie naturelle et ce qu’il se passe pour un astre autour de ces dates-là. En l’occurrence, Saturne a commencé à rétrograder début juin (jusqu’à fin octobre). Comme Saturne est la planète de la structuration, quand elle rétrograde (c’est comme si elle allait à reculons dans le ciel, revenant dans le signe précédent), c’est un moment où on peut avoir envie de revoir sa structuration. J’ai l’impression que, pour moi, en juillet, ça s’est joué sur ma façon de gérer mon argent.

On regarde aussi dans quelle “maison” se trouve Saturne, pour voir quel pan de notre vie sa rétrogradation va impacter. Pour moi, c’est en maison 6, celle de la vie quotidienne. Certes, ce n’est pas la maison 2 de l’argent, mais dans la vie quotidienne, il y a les dépenses quotidiennes, et il se trouve que c’est là-dessus que j’ai porté mon attention.

Voilà pour les grands moments de mon mois de juillet ! Voyons maintenant mes intentions pour le mois d’août.

Intentions pour le mois d’août 2022

Intentions autour de mon livre

Mes principales intentions concernent le livre que je suis en train d’écrire. 

Avancer au maximum sur la réécriture

Autant je n’ai mis que douze jours à écrire la première version, autant la réécriture me prend énormément de temps car je vais beaucoup plus dans les détails et vérifie plein de sources et chiffres.

Ma priorité est d’avancer au maximum sur cette réécriture.

Un point de blocage est qu’avec mes échanges avec des personnes intéressées par le sujet, j’ai l’impression de ne plus savoir à qui s’adresse mon livre et comment il doit être structuré. C’est un “danger” pour ma réécriture car je suis tentée de revoir mon plan sans arrêt et ça me freine dans la finalisation du livre.

Je ne sais pas trop comment je vais me sortir de là pour l’instant. Mais l’intention est d’avancer le plus possible. Si je pouvais terminer la réécriture ce mois-ci, ce serait fantastique. Idéalement, j’aurais voulu déjà l’envoyer aux bêta-lecteurs et en correction en août, mais je ne suis pas sûre d’avoir fini à temps… À moins d’envoyer les chapitres au fur et à mesure, mais cela suppose que je sois sûre du début du livre, et je ne sais pas si les bêta-lecteurs seront motivés pour une telle organisation (à voir).

Définir le titre final

Le titre d’un livre est super important. C’est une des “actions marketing” à laquelle il faut le plus faire attention car ça contribue énormément au fait que le livre se vende ou pas.

Mon titre provisoire est “Comment vivre de l’écriture de livres de non-fiction”. Mes échanges avec des lecteurs-cible m’ont mis le doute sur ce titre, qui ne traduit peut-être pas bien le contenu du livre.

J’aimerais finaliser ce sujet en août, notamment car j’ai besoin du titre final pour créer la couverture et pour demander le numéro ISBN.

Choisir un nom d’éditeur

Même combat pour mon nom d’éditeur. Je ne compte pas créer de maison d’édition mais avoir un nom de marque permet d’être publié sur Amazon avec ce nom d’édition plutôt qu’avec l’indication “independently published” (auto-édité). Et puis je trouve que ça crée un ensemble homogène autour des livres donc j’aimerais trouver un nom sous lequel ranger tous mes livres. 

Ce nom doit être indiqué au moment de la commande des numéros ISBN, qui mettent trois semaines à être attribués. Ne pas trouver ce nom d’éditeur me bloque pour acheter les ISBN et retarde le moment de publication de mon livre. J’aimerais donc finaliser ça au plus vite.

Résumé (quatrième de couverture)

J’aimerais aussi m’occuper de rédiger le résumé du livre pour pouvoir demander à la communauté ce qu’elle en comprend (et vérifier que le résumé convertira bien).

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Beaucoup de travail m’attend encore derrière tout ça : créer la couverture ebook et papier, mettre en forme le livre, faire les révisions après les retours des bêta-lecteurs et du correcteur, créer ma page Auteur et Livre sur Amazon, choisir le prix du livre…

Tout ça me paraît énorme comme travail et j’aimerais trouver un moyen de simplifier pour que ça apparaisse moins comme une montagne, et pour réussir à publier plus vite (initialement, j’aurais voulu publier pour le 1er septembre, mais mon perfectionnisme m’a rattrapée et je suis encore en cours d’écriture après deux mois de travail !).

Intentions autour du contenu gratuit

Il m’est difficile de travailler sur la réécriture du livre plus de 2 ou 3h par jour. J’ai donc envie de profiter du reste de mes journées pour avancer sur le développement de mes contenus gratuits (articles de blog, podcast, newsletter) et de la communauté.

Jusqu’à présent, je n’y arrivais pas car je n’avais plus de jus intellectuel après avoir travaillé sur le livre, et pas de motivation. Je suis donc en train d’essayer une nouvelle organisation : 

  • Réserver mon lundi à ces tâches-là pour m’assurer d’avancer (et ne pas avancer sur l’écriture du livre ce jour-là) ;
  • Si je n’ai pas terminé le lundi, avancer sur ces tâches le matin, AVANT de me mettre sur mon livre. Je me rends compte que, dans ce sens-là, j’ai suffisamment de motivation et de ressource intellectuelle pour avancer sur le livre (probablement car ma détermination à le terminer est très forte).

Jusque-là, je ne m’étais pas vraiment mise au contenu gratuit car :

  • Je mettais la priorité sur le livre (mais la création de communauté est très importante donc je sens que je ne peux pas continuer à retarder ça indéfiniment) ;
  • J’avais peur de ne pas tenir mes engagements si je disais que j’allais publier un article par semaine, un podcast par semaine, et une newsletter par semaine, notamment parce que je n’arrivais déjà pas à finaliser un article en parallèle de mon livre. Mais avec une réorganisation de mes journées, ça me semble davantage faisable.

Podcast

J’ai donc décidé que le premier épisode du podcast sortirait le dimanche 14 août. J’ai déjà celui de la semaine d’après quasiment finalisé. Pour la suite, j’ai une liste de 30 personnes que j’aimerais interviewer, pas encore contactées. Mais je sens une dynamique se former : le fait de dire que je vais publier un épisode par semaine (le dimanche) m’aide à me bouger les fesses pour essayer de tenir mon engagement, et prévoir un temps pour contacter ces personnes afin de m’assurer d’avoir des interviews à publier. 

Le plus compliqué, ce n’est pas tant d’obtenir et réaliser les interviews, c’est tout le travail qu’il y a derrière de réécoute, montage, écriture d’un résumé au format d’article. Pour la première interview, ce travail m’a pris 6h (alors que contacter la personne et l’interviewer ne m’a pris qu’1h30). Donc peut-être serai-je obligée d’espacer les épisodes, si je veux aussi pouvoir publier un article différent sur le blog, et m’occuper de mon livre en parallèle.

Articles de blog

Côté blog, je veux publier un article pour chaque podcast, pour ceux qui préfèrent l’écrit, et aussi parce que ça me permet à moi de me souvenir de l’essentiel de ce qui a été dit. Mais je voudrais aussi publier d’autres formats d’articles sur d’autres sujets, pour varier (comme celui-ci par exemple). 

C’est important pour moi de parler d’autres sujets que l’écriture, car le blog se veut beaucoup plus généraliste que ça donc je veux qu’on puisse d’ores et déjà y lire des articles sur l’ésotérisme, l’habitat, etc.

Pour l’instant, j’aimerais réussir à en écrire un par semaine (en plus de celui du podcast). Le temps d’écriture et finalisation d’un article peut varier de 2h à… 8h je dirais. Ça dépend du degré de détail, ça dépend à quel point je suis au clair sur ce que je veux dire et les recherches que j’ai besoin de faire.

Newsletter

Et puis j’aimerais redémarrer une newsletter hebdomadaire, sur l’ensemble des sujets du blog. La newsletter a un rôle différent du reste. Les articles et le podcast sont des moyens d’attirer des gens à moi (mais aussi les fidéliser s’ils aiment ce que j’écris).

La newsletter se veut plus intimiste, avec des infos exclusives que je ne partage pas ailleurs. Mais surtout, c’est un moyen de rester en contact régulier, pour créer une ambiance de communauté et un lien plus fort avec les personnes qui me lisent/écoutent.

Tout ça, ça fait beaucoup de travail donc à voir si j’arrive à tenir le rythme sans que ça devienne chiant, et sans arrêter d’avancer sur mon livre de façon productive.

Réserver mes matins à des activités “dans le corps”

Fin juillet, j’ai passé une semaine à ramasser les oignons dans les Cévennes. Je faisais ça de 6h à 12h, et l’après-midi j’avançais sur la réécriture de mon livre. Ça a super bien fonctionné pour moi comme rythme. Je pense que le fait d’être dehors, de faire un travail physique, et qui me vide la tête m’a fortement aidée à être productive l’après-midi.

En comparaison, avant ça, je commençais par l’écriture du livre le matin et, n’ayant pas beaucoup d’autres choses à faire par ailleurs, je continuais l’après-midi. Mais je n’étais pas super efficace, et je n’étais pas satisfaite de mes journées remplies uniquement de cette tâche et de pauses (j’ai besoin de plus de variété et d’accomplissements).

Pour la semaine du 8 août, j’ai donc décidé de reproduire cette organisation. Les oignons, c’est fini, mais il y a plein de choses que j’aimerais faire dans mon appart : ranger ces sacs d’affaires à vendre/donner qui traînent dans mon couloir depuis quatre mois, réorganiser ma cuisine pour que ça fasse plus rangé, apporter des modifications pour rendre l’appartement plus joli et moderne, etc. J’aimerais aussi prendre le temps de cuisiner davantage pour arrêter de toujours manger au dernier moment le truc le plus facile et rapide à faire possible.

Je m’étais donc dit que je ferais ça tous les matins, et travaillerais sur le livre l’après-midi. Mais à l’heure où je finalise cet article (9 août), je n’ai déjà pas pu faire ça ce matin parce que je n’avais pas terminé les tâches “contenu gratuit” et m’en suis donc occupée ce matin. 

Donc à voir si j’arrive à intégrer un peu de ces activités “dans le corps” chaque matin, ou peut-être certains matins et pas d’autres.

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